samedi 2 octobre 2010

CMS

Installation Apache : 2 minutes
Installation PHP : 5 minutes
Installation MySQL : 3 minutes (!)

Installation d'un site Prestashop : 3 minutes
Installation d'un site Joomla : 3 minutes

Un monde s'ouvre à moi...
Je pleure ou je ris ?

mardi 29 juin 2010

Enter the Void

Gaspard Noé - 2010 - MK2 Bibliothèque

Noé aurait-il murit ?
Nous voilà avec le même message dans un film cent fois plus sensible que les autres.
Le même message ? Mais c'est quoi le message ?
Je serais sur-dimensionnée de l'ego de le donner, mais je vois là de l'amour, et je vois là un monde pourri.
N'est-ce pas là tout le cinéma de Noé : comment l'amour, si pur, survit dans un monde aussi pourri, aussi violent.
Dans ces précédents films, Noé nous montrait un amour pur, presque naïf, presque désuet, en tout cas commun et familier : l'amour d'un père pour sa fille, l'amour d'un mari et d'une femme... Le tout brusquement (ou pas) basculé dans une violence froide, sombre, ou survivant à peine dans un monde vomissant.
Un avant-gout...
Dans The Void, l'amour n'est pas pur mais universel, et bien moins caricatural : les hommes donnent du plaisir aux femmes dans un "hotel de l'amour" coloré, même les stripteaseuses sont traitées avec respect (on s'attend souvent à voir un mec en coller une à une femme, mais non, en fait il est -vraiment- amoureux, même si c'est son mac), bref, un traitement de la vision de la femme, du couple, totalement différent voire même inédit, qui n'est pas pour me déplaire.
Et les couleurs, l'image, on ne sait plus trop où on est, les codes sont explosés, et c'est ce qui rend ce film si universel et si moderne.
Noé a toujours été féministe (haha), mais qu'est-ce qu'il était maladroit !
Je m'attends à ce qu'on veuille me choquer encore, j'ai été surprise, excellent.

mardi 8 juin 2010

Enfants végétariens à Bagnolet

Y a-t-il des enfants végétariens à Bagnolet (93170) ?
Est-ce que ça existe (à part la mienne) ?

Ou même des adultes ?!

Bon sang...

jeudi 22 avril 2010

Insolente veggie

Je l'aime, je l'aime !

http://insolente0veggie.over-blog.com/

Amis végéta*iens (et les autres aussi s'ils sont gentils...), découvrez ce blog tellement vrai et tellement drôle.

Extraits :







lundi 19 avril 2010

L'encerclement -- La démocratie dans les rets du néolibéralisme

Film de Richard Brouillette - Canada - 2008 - n&b - 2h40
Avec : Noam Chomsky, Ignacio Ramonet, Normand Baillargeon, Susan George, Omar Aktouf, Oncle Bernard, Michel Chossudovsky, François Denord, François Brune, Martin Masse, Jean-Luc Migué, Filip Palda and Donald J. Boudreaux

http://encerclement.info/

Un film totalement indispensable.

Divisé en 10 chapitres dont le niveau va crescendo, tellement bien découpés et clairs que les voici :

Première partie : portrait général de l'idéologie néolibérale
HYPER intéressant, essentiel pour comprendre, rarement évoqué, l'histoire du néolibéralisme et, dans le "florilège", une constatation, disons, d'un certain état d'esprit.
Chapitre 1 : Introduction
Chapitre 2 : Origines
Chapitre 3 : Au coeur du réseau néolibéral, les think tanks
Chapitre 4 : Petit florilège libéral - Libertarianisme et théorie des choix publics
Chapitre 5 : Critiques

Seconde partie : l’encerclement de la pensée et de la démocratie par le néolibéralisme
Etat des lieux et réflexions brillantes sur l'éducation et les médias, plus une explication des produits dérivés et de leurs... dérives "comme si vous aviez 4 ans".
Études du parcours géopolitique du néolibéralisme, réflexions profondément humanistes, différences entre économie et finance, sociologie des comportement de masse...
Chapitre 6 : Propagande et endoctrinement – l’éducation
Chapitre 7 : Propagande et endoctrinement – les médias
Chapitre 8 : Néolibéralisme ou néocolonialisme – la force d’imposition des marchés financiers
Chapitre 9 : Néolibéralisme ou néocolonialisme – la force d’imposition des institutions de Bretton Woods ou le consensus de Washington
Chapitre 10 : Néolibéralisme ou néocolonialisme – la force d’imposition de l’humanisme militaire ou « la guerre c’est la paix »

Non, c'est pas chiant, c'est pas élitiste (...), c'est pas utopiste, c'est juste indispensable.

Extraits :

Un régime "globalitaire" - Ignacio Ramonet (1mn38)


La théorie des avantages comparatifs - "Oncle" Bernard (1mn18)


La main invisible (l'ordre et chaos) - "Oncle" Bernard (2mn07)


Les bipèdes pensants (de l'inemployabilité de Victor Hugo) - Omar Aktouf (excellent !) (1mn50)


L'affaiblissement de la démocratie - Noam Chomsky (2mn12)

mardi 13 avril 2010

Le clitoris, ce cher inconnu

Documentaire - Canal+ VOD - M. Dominici, V. Moszynski, S. Firmin

Un film très intéressant qui étudie le clitoris dans sa globalité : histoire, fonctionnement, usages, anatomie, sociologie, psychologie...

Quelques infos que j'ai retenues :
On croit que le clitoris n'a pas d'utilité dans le reproduction, c'est ainsi que notre société judéo-chrétienne l'ignore. Dans la Grèce antique Hippocrate a commencé l'étude de l'anatomie et conseillait aux couples sans enfants de stimuler le clitoris. Par la suite, même si l'église ne voyait pas d'un bon œil tout ce qui n'était pas en rapport direct avec la procréation, les médecins continuait à le conseiller.
Cependant, en 1875, lorsque la science évolua et qu'on découvrit les mécanismes de la reproduction et le fonctionnement des organes génitaux, le clitoris fut oublié, bannit, et en 1948 on ne le retrouvait même plus dans les livres d'anatomie.

Freud, lui, n'a pas remis en cause l'intérêt orgasmique du clitoris, mais disait que la maturité impliqué un transfert de l'orgasme du clitoris vers la vagin. Ainsi, il prétendait que toutes les femmes qui n'arrivaient pas à avoir d'orgasme vaginal étaient tout simplement immatures, et donc avait de gros problèmes psychologiques à résoudre...
Quand on pense que seulement 30% des femmes ont des orgasmes vaginaux...

De nos jours, on sait que le clitoris est très proche du pénis, que c'est le tissu le plus sensible du corps humain, qu'il contient 4000 terminaisons nerveuses de chaque coté, et donc 8000 en son "bout", plus qu'un pénis qui en contient 4000 à 6000.
Des études tendent à montrer que sans clitoris il n'y a pas de plaisir et que même le plaisir vaginal vient du clitoris, qui est bien plus grand que ce que l'on croit, cf. schéma.

"La morale est souvent venue troubler l'objectivité ds savants".
A la renaissance, "La nature a déposé une bête dans les parties intimes des femmes" (Rabelais). A l'époque des chasses aux sorcières, un grand clitoris était pris pour la marque du diable, puis les démons ont été remplacés par les déviances ; au 19ème le lesbianisme et la nymphomanie sont considérées comme des maladies, la masturbation provoquerait jaunisse, cécité et mort prématurée, l'excitation sexuelle tendrait à détruire le mental des femmes, et le clitoris est jugé responsable par le président de la Britih Medical Society. Il préconisait alors son ablation. Des milliers de femmes fut ainsi excisées.


Une étude récente et dont la mise en œuvre est montrée dans le documentaire nous démontre que toutes les femmes (sous réserve de problèmes physiologique) peuvent avoir des orgasmes, de manière rapide et quasi automatique. Il montre aussi que de manière automatique l'afflux sanguin dans le vagin augmente avec un stimulus sexuel (ici un film érotique), mais que les femmes ne s'en aperçoivent pas tout de suite, elles n'ont pas l'impression d'être excitée, mais que les stimulus ont la même action rapide (quelques secondes suffisent et ceci même si on n'aime pas les films érotiques), un peu comme les hommes quoi ! Incroyable !

J'aime beaucoup l'intervention d'une femme :
"On surestime le pouvoir des filles, qui est mince comme du papier, et en dessous on trouve toujours le même niveau d'impuissance et la même incapacité d'assumer leurs décisions et leurs besoins. Je pense que nous devrions insuffler le féminisme dans la vie des filles, ainsi que la notion de droit, le droit de faire des choix, de refuser de se comporter et d'être comme on l'attend d'elle. Un des droits des filles est de situer leur propre plaisir au centre de leur vie, avant leur responsabilité vis-à-vis des autres. (...) Elles ont besoin d'affirmer un peu plus leur droit au plaisir."

On apprend que la meilleure thérapie pour les troubles sexuels féminins est la masturbation dirigée, ou comment apprendre à se masturber, et ainsi se connaitre mieux, car les femmes semblent quand même avoir besoin d'avoir une connexion entre leur excitation et son acceptation psychologique. Apprendre à se masturber, s'est trouver son équilibre, un peu comme le vélo, on n'oublie jamais !

Une autre intervention essentielle :
"Vous savez ce qui sous-entend le plaisir chez les femmes ? Que l'homme vide la poubelle. Que l'homme s'intéresse aux enfants, que l'homme se rappelle la date d'anniversaire de la mère de la femme, ça créé une sorte de sensation spécifique à la femme, celle de se sentir aimée, d'être en sécurité, de sentir qu'il s'agit d'une homme qui s'intéresse vraiment à elle en tant que personne, cela tranquillise énormément une femme de sentir en sécurité et d'être aimée de cette façon, et beaucoup de phénomènes physiques intéressants peuvent en découler. Ainsi l'idée que la sexualité est une chose qui se pratique au lit est une très grosse erreur, la sexualité c'est quelque chose qui nait de la relation entre deux personnes, une relation entre deux personnes ça se construit 24h par jour et 7 jours par semaine."

Conclusions :
Je trouve ça intéressant de mixer ce documentaire au précédent, car ça donne un état trans-genre naturel beaucoup plus important que ce que l'on croit (les hommes ont besoin de douceur et les femmes sont lubriques hihi) et renforce l'idée d'une pression sociale et historique beaucoup trop importante.

lundi 12 avril 2010

Tous les mêmes

Documentaire - Michel Reilhac - Canal+ VOD

Des hommes nus mais en plan serré nous parle de leur état d'homme, de la virilité, de leur sexe et de leur sexualité.

- Je baise, et après je deviens un peu plus humain

- On t'a jamais appris à faire l'amour mais tu sais que tu vas pénétrer.

- Il faut que tu tiennes la distance, que tu fasses crier l'autre, que tu deviennes mec quoi.

- Mon corps m'appartient mais mon sexe m'appartient quand il veut.

- Les femmes ne se rendent pas bien compte que ce sexe extérieur à nous même est difficile à canaliser, qu'on ne le maitrise pas.

- On décide pas grand chose avec notre sexe, il faut qu'il soit d'accord.

- Ça peut être gigantesque comme tout petit. Quand c'est petit c'est dérangeant, au niveau macho, au niveau de l'homme, de la virilité. Le sexe il faut qu'il soit... C'est pour ça qu'on a beaucoup de mal à assumer, c'est toujours perturbant quand t'en vois un plus gros que le tien.

- J'aurais envie de savoir ce que ça fait d'avoir un sexe plus gros plus long, plus balaise.

- Ça a de l'importance pour les hommes, mais pour les femmes c'est pas important, sauf trop grand ou trop petit, mais une fois qu'on a vu que ça a pas d'importance... (Ndlr : hahaha)

- On n'est jamais sûr, autant les filles ou nous on est sûr de ce qu'on a ressenti puisqu'on éjacule, autant on n'est jamais sûr de ce que ressent une fille, un mec pour pouvoir baiser il faut bander, donc il y a excitation. Une fille n'a pas besoin, le sexe d'une fille y bande pas, il peut être excité mais même s'il ne l'est pas elle peut baiser, puisque c'est un trou on rentre dedans et puis voilà, alors on peut pas savoir ce que la fille ressent, elle peut faire semblant. (Ndlr : je plains sa partenaire...)

- Une fille elle reçoit le sexe de l'homme, c'est un véritable don de soi. (Ndlr : il y a une certaine contradiction dans cette phrase)

- La femme a moins de problème. Même si elle a pas envie elle est capable de faire plaisir à son partenaire. Mais moi j'y arrive pas (il se dit éjaculateur précoce). Ndlr : OMG

- Quand je pénètre j'ai l'impression que je m'éloigne de l'amour.
Cet homme dit également auparavant qu'en repensant à certains moments d'acte sexuel, quelques temps après, il trouve ça trop animal. Je pense que cet homme à besoin d'amour :)

HPG, un acteur porno :
- C'est pas une fin en soit, il ne faut pas obligatoirement chercher à avoir un orgasme, le plaisir d'être contre l'autre est déjà amplement suffisant. Des fois je suis avec une nana, j'éjacule pas, elle est désespérée je lui dis mais non c'est pas grave, j'éjaculerai plus tard, mais je suis content d'être avec toi. J'ai pas joui mais ce n'est pas très important. Pareil pour la fille. Les orgasmes on les aura si on est vraiment amoureux l'un de l'autre mais sinon...

- Moi ce que j'aime c'est quand une femme est allongée près de moi avec la tête sur mon épaule et qu'elle arrive à se sentir en sécurité, là je sens mon rôle homme. Même sans... mais bon c'est vrai que ça passe souvent après une pénétration, c'est quand même un petit peu lié, mais c'est là que je me sens une homme.

- Le sexe faut l'assumer, ne pas avoir de sexe c'est une liberté pour moi.

Un homme nous dit qu'on a deux façons de faire la fête : aller dans une soirée, boire manger, et aller dans un temple. "Et quand on fait l'amour on rentre trop souvent dans une sorte de bordel au lieu d'aller dans une église, faire l'amour ça devrait être comme pousser la porte d'une église et avoir le même parcours d'évolution. La plupart du temps on pousse pas la bonne porte."

Conclusions ?
Bah moi je trouve que ces hommes ont l'air d'être souvent embêtés avec leur organe et qu'ils ont une pression d'enfer, qu'ils ont l'air de manquer d'amour simple, doux et qu'ils ont l'air d'être obligés d'être des "performateurs", qu'ils manquent de confiance en eux et que comme leur bite est le symbole de leur virilité, et qu'ils n'ont pas l'air de la maitriser, et qu'ils la trouvent trop petite, ils se sentent comme des merdes. (Bon sauf peut-être HPG héhé) Les filles je pense ne les aident pas à se sentir mieux faut dire.
Pauvres de nous, amen.

jeudi 8 avril 2010

hello world (.cs)

- installation de Microsoft Web Platform ("Visual Web Developer, SQL Server Express, Silverlight, IIS et les extensions ASP.NET") grâce au WebPI
- mdp sql server : ************
- je décide de tester le coach ASP.NET parce qu'il prend en compte MVC, que la version 2.0 vient de sortir et est intégré à mon install, et que l'illustration dit : "t'es un pro d'ASP tu te dis que ça va être trop dur de te mettre à jour..." :) http://msdn.microsoft.com/fr-fr/asp.net/msdn.coachaspnet.aspx
- 1er problème : impossible de s'authentifier SQL Server... vive WebPI... je redémarre le service, impossible, je vais dans le journal d'erreur, et là en fait il chercher un fichier e:\sql10_main_t\sql\mkmastr\databases\objfre\i386\modellog.ldf (e: c'est on lecteur cd...) donc il peut pas ouvrrir la bdd model donc il peut pas démarrer sql server. c'est super

- oui bon en fait SQL server n'est pas installé normal que le manager arrive pas à s'y connecter...

- test1 : ajouter les autorisations pour networkservice dans le répertoire newtworkservice... C:\Documents and Settings\NetworkService
Ah, sauf que je le vois pas apparaitre dans C:\Documents and Settings\...
putain d'édition familiale...
et je peux pas éditer les autorisations des fichiers et répertoires. résolution : http://www.numaweb.ch/NumaWeb/WHISTLER/dossierxp.htm#b3 (Téléchargez ftp://ftp.microsoft.com/bussys/winnt/winnt-public/tools/scm/scesp4i.exe. Décompressez-le. installer setup.inf, ne pas remplacer le fichier existant, vous aurez accès aux permissions NTFS. Ouvrez HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Control\Lsa. éditez la valeur DWORD forceguest et y mettre le chiffre 0.)
okéééé ça marche pour les permissions, reste à afficher le RÉPERTOIRE networkservices...
bon il suffit d'explorer C: et de se mettre sur le répertoire et il apparait dans l'arborescence...
Ah mais j'ai PAS le user network service ! (bah ouais c'est Service réseau en français pfff)

- juste pour voir je retente une install par WebPI, erreur d'installation pour SQL Server, voici la config d'install : 'C:\Documents and Settings\askaline\Local Settings\Application Data\Microsoft\Web Platform Installer\installers\SQLExpress\73B50C90E9A19DEC9F0B69CD76C659C5068EF3F9\SQLEXPR_x86_FRA.exe /q /ACTION=Install /FEATURES=SQL /INSTANCENAME=SQLEXPRESS /SQLSVCACCOUNT="NT AUTHORITY\Network Service" /SQLSVCStartupType=Automatic /AddCurrentUserAsSqlAdmin /ENABLERANU=1 /hideconsole /SECURITYMODE=SQL /SAPWD="************"'

OR le compte "NT AUTHORITY\Network Service" n'existe pas.
Tentons une install manuelle pour voir...
Ah bon alors il a réussi... Mouais... Ah non apparemment c'est que la 1ère étape de vérification :D
-> installationd es fichiers de support d'installation... OK (juste un averto pare-feu windows LinkId=94001)
-> choix des compostants OK
-> configuration de l'instance... OK je met par défaut
-> espace disque OK
-> configuration du serveur : AH VOILA ! c'est là qu'il trouve pas network service alors il me demande quel compte utiliser pour le service SQL Server
bon il semble que tout à coup je vois un compte "AUTORITE NT\SERVICE RÉSEAU", essayons... ça passe, tout simplement... en français... putain c'est con...
-> authentification mixte
-> récap OK, je vais juste changer le nom de l'instance en SQLEXPRESS... Ah CHIOTTE y veut pas, je vais tenter de désinstaller puisqu'apparemment WebPI est un gros cochon...
-> c'est parti...
-> et c'est reparti pour l'installation...

- en attendant, je regarde mon 1er webcast du coach ASP.NET
- Haaaaaaa ça va paaaaas ça a encore foirééééé faut que je désinstalle encore l'instaaaaance !

- je remarque que dans la config d'installation j'ai : ISSVCACCOUNT="NT AUTHORITY\NetworkService"...
je change par "AUTORITE NT\SERVICE RÉSEAU" on sait jamais
j'ai également ADDCURRENTUSERASSQLADMIN="False", je met True
- c'est reparti pour une install à partir du fichier ConfigurationFile.ini modifié
-> l'installateur est dans C:\Documents and Settings\askaline\Local Settings\Application Data\Microsoft\Web Platform Installer\installers\SQLExpress\73B50C90E9A19DEC9F0B69CD76C659C5068EF3F9
-> les logs d'installation/désinstallation sont dans C:\Program Files\Microsoft SQL Server\100\Setup Bootstrap\Log
- ça marche pas : erreur : "'' is not valid login or you do not have permission"
- OMG : http://dotnetfish.blogspot.com/2009/02/error-is-not-valid-login-or-you-do-not.html
- changement du nom de l'ordinateur : ASKALINE -> ASKA mon user étant askaline...
- désinstallation...
- reboot...
- installation... ça maaaaaarche, thanx to you dotnetfish !
- installation de SQL management studio, visual web developer et MVC 2.0

- ouverture du manager OK !
- connexion au server SQL local OK !
- ouverture Microsoft Visual Web Developer 2008 Express Edition OK ! (qui est en fait un Visual Studio 9.0 like ?), la page de démarrage on dirait un site web, je me sens vieille tout à coup...

mercredi 31 mars 2010

On dit d'ces choses parfois

Un petit medley :
* Jamais je ne me marierais
* Jamais je ne divorcerais
* Jamais je ne me ferais faire l'intégrale
* Jamais je ne donnerais de fessée
* Jamais je n'achèterais de crème amincissante (variante : anti-rides)
* Je ne prendrais plus -jamais- un autre chat
* Jamais je ne mettrais mon jean dans mes bottes
* Je ne me ferais plus -jamais- de frange
* Je ne me recoucherais plus -jamais- à 10h du mat'
* Jamais je ne prendrais ma voiture pour un trajet de moins de 5 km (variante : 10km, 2km...)
* Jamais plus je ne boirais autant
* Jamais plus je ne dépasserais mon budget
* Jamais plus je n'achèterais 3 paires en même temps (bottes hautes, boots, chaussures basses par exemple...)
* Jamais plus je ne regarderais de conneries à la télé jusqu'à 3 du mat'
* Jamais plus je ne mangerais autant de chocolat dans la même soirée

Ma copine est amoureuse...

... d'un gars qu'on aurait jamais dit qu'elle soit un jour avec lui...
... comme quoi la vie est plein de bonnes surprises...
... comme quoi avec le temps...

Ma vie est tout à fait fascinante

Pénélope Bagieu - édition Gawsewitch

Merci maman !
Maman elle a toujours des bonnes idées (elle doit flanner et shoppinguer beaucoup plus que moi...)

Elle m'a offert ce petit bouquin d'illustrations et j'ai cru qu'il avait été fait pour moi (merci Pénélope !)
Bon ça fait pas se sentir très différente mais des fois ça fait du bien.

Et puis j'ai tellement rit que j'ai eu mal au ventre et ça bah ça me l'a pas fait depuis Foresti... C'est pour dire si je suis une rigolote.

C'est drôle, simple, frais, vrai, caustique.
MAIS C'EST TROP COURT !

Extraits :






Une itw de Pénélope Bagieu au moment de la sortie de son autre BD "Joséphine"

15 ans après

Alexandre Jardin (oui oui) - édition Grasset

Jardiiiiin ? M'enfin ? Oui j'ai lu le Jardin, passke j'ai lu Fanfan puis l'Ile des Gauchers à 18 ans et que j'étais bien curieuse de la suite.
Surtout que l'annonce rend curieux justement.
Le point de vue de Fanfan c'est que le quotidien tue l'amour, que les habitudes, la vie à deux, annule la passion, passion qui est seule à être intéressante dans une histoire d'amour, et que chaque jour doit être un éternel recommencement.
Thèmes que l'on retrouve dans l'Ile des Gauchers, en plus mieux fait et plus mieux intéressant.
Dans 15 ans après, Jardin nous dit que, bah en fait, c'est le quotidien qui vaut tout, et que la passion n'est rien, et que c'est la vie à deux, dans le temps, qui fait le véritable amour.
OK, on comprends les 2 points de vue.
SAUF QUE dans Fanfan, le mâle se fatigue donc à renouveler la passion du début chaque jour.
ET QUE dans 15 ans après, il s'échine à faire du quotidien une nouvelle suprise, chaque jour.
Jardin nous dit que, en fait, dans la littérature "romantique", il est très peu question de la vie à deux, que tout est misé sur la passion, et que tout cela est très destructeur voire très immature.
Soit.
Mais j'ai trouvé que le propos était finalement exactement le même dans Quinze ans après, en fait... Parce que ses petites farces et ses petites surprises quotidiennes ne sont pas plus réalistes ni matures que dans Fanfan.
Le seul point différent sans doute est que là le mâle veut habiter avec la femelle...
Ça c'était pour le point de vue.

ENSUITE, niveau écriture, ça va pas loin, c'est loooong ! Et c'est plein de figures de styles et d'adjectifs utilisés dirait-on pour remplir les pages... Ou pour montrer un vocabulaire français maitrisé ?
C'est long, très long.
Et que dire des personnages caricaturaux qui gravitent autour de Fanfan et Alexandre ?!
Les éditeurs, why not, mais la nana de la télé là, complètement hystérique, et la fin ?! Un peu fastoche...
Tiens la fin, parlons-en, c'était censé être du suspens ou bien ? C'est loooong !
Et on dirait plus le scénario d'un film que la fin d'un roman. J'avais tous les plans en tête, pas de soucis y a plus qu'à tourner ça va faire un carton !
Shabadabada

Mais MOI, ce que j'aurais bien aimé, c'est justement d'avoir la fin de la fin, parce que, finalement, ça fait comme les contes : "ils se marièrent et eurent... avaient beaucoup d'enfants..." et après, alors, ça marche son bordel du poulet au chocolat et des pantoufles ou quoi ?!

Bref, naïf, à l'envers, fatiguant, sans intérêt, ça m'apprendra.

jeudi 25 février 2010

plouf plouf

livres :
Ma vie est tout à fait fascinante - Pénélope Bagieu

ciné :
Shutter Island
Gainsbourg
In The Air
I Love You Phillip Morris
Brothers
Sherlock Holmes
Le Refuge
Lovely Bones

samedi 23 janvier 2010

Bright Star


Jane Campion - avec Abbie Cornish, Ben Whishaw - Cin'hoche Bagnolet

Le pitch : Londres, 1818. Un jeune poète anglais de 23 ans, John Keats, et sa voisine Fanny Brawne entament une liaison amoureuse secrète.
Pourtant, les premiers contacts entre les deux jeunes gens sont assez froids.
John trouve que Fanny est une jeune fille élégante mais trop effrontée, et elle-même n'est pas du tout impressionnée par la littérature.
C'est la maladie du jeune frère de John qui va les rapprocher. Keats est touché par les efforts que déploie Fanny pour les aider, et il accepte de lui enseigner la poésie.
Lorsque la mère de Fanny et le meilleur ami de Keats, Brown, réalisent l'attachement que se portent les deux jeunes gens, il est trop tard pour les arrêter. Emportés par l'intensité de leurs sentiments, les deux amoureux sont irrémédiablement liés et découvrent sensations et sentiments inconnus. " J'ai l'impression de me dissoudre ", écrira Keats. Ensemble, ils partagent chaque jour davantage une obsédante passion romantique qui résiste aux obstacles de plus en plus nombreux. La maladie de Keats va pourtant tout remettre en cause...


En y allant, seule, je me suis demandée si j'allais beaucoup pleurer. Alors je n'ai pas beaucoup pleuré, mais j'ai certainement pleuré.
Ce que j'aime, c'est l'époque. La sobriété, l'inexistence de la société de consommation, l'éducation et les passe-temps, basés sur l'art, la littérature, la musique, la danse, la discussion, la nature... Les rapports, timides et cadrés, entre les hommes et les femmes. La bienséance...
Bien sur, c'est un film et j'en suis consciente, et je n'oublie pas que l'époque était également difficile, qu'on ne pouvait pas devenir riche en naissant pauvre, que la femme n'était pas considérée comme l'égal de l'homme, qu'il y avait peu de commodités et que la médecine ne guérissait pas grand chose...
Pourtant il ne faut pas rejeter ce qui nourrit l'impression de simplicité et de bien-être dans cette retranscription partielle de société. Et pourquoi pas s'en inspirer.
Je voudrais retrouver du calme, de la sobriété, des valeurs. Les choses étaient plus belles, des murs boisés aux habits.
Il n'y avait pas de pesticides, pas de jouets en plastique et à profusion, pas de conservateurs ni de colorants, pas de matières synthétiques, pas d'immeubles mangeurs d'homme.

J'ai beaucoup aimé la mère, Mrs Brawne, car j'ai trouvé qu'elle était très moderne, préférant le bonheur de sa fille face à la pression sociale, forte car apparemment seule, son mari est-il mort ? Ne voulant pas régenter sa fille, parce qu'elle sait qu'il est impossible de raisonner des jeunes gens amoureux et qu'il faut se faire sa propre expérience, mais toujours présente quand il le faut, en cas de gros chagrin, par exemple...

Voilà, l'histoire est classique et n'a d'intérêt que parce qu'il s'agit de Keats. Quoi qu'il en soit, c'était merveilleux.

dimanche 17 janvier 2010

Very Bad Trip

Mouais... C'est un peu drôle, des fois, mais bon...

lundi 11 janvier 2010

Pas le temps de croniquer décidément

ciné :
Avatar
Persécution
Tetro

tv :
Naissance des pieuvres

séries :
Californication 3
Desperate Housewife 6
United States of Tara 1

re :
Cruising (de William Friedkin avec Al Pacino)

théâtre :
Une Passion : Anaïs Nin - Henry Miller

BD :
Je ne verrai pas Okinawa (Aurélia Aurita)